LA COMMUNAUTé D'LTC LIVE : AVOIR LES DéCI-BELLES EN PARTAGE !

LA COMMUNAUTé D'LTC LIVE : AVOIR LES DéCI-BELLES EN PARTAGE !

LA COMMUNAUTé LTC LIVE : LISTEN TO YOUR EYES !

L'INSTANT LOVELOVE D'LTC LIVE.

LE "UNE CHANSON, DEUX VERSIONS(d'ltc LIve)" : DURAN DURAN "New Religion." (Trop de la bombe !)

 

LE GROUPE A-HA NOUS FAIT SON SHOW EN LTC LIVE !

© Photo ci-dessus : http://www.musicme.com/#/Morten-Harket/biographie/

A-HA est un groupe de Pop-Rock norvégien qu'on ne présente plus. Voici une petite sélection de quelques-uns de ses meilleurs tubes... Bonne ZiZic avec JD en LTC Live !

Cette version live « très bouge ton cul » de « I’ve Been Losing You » ne laisse pas indifférent :

 

Toujours plus haut... et en musique SVP ! "Hunting High And Low."

Puis, j’ai trouvé rien que pour ma gueule, un petit coin de « Blue Sky »...

 

Et "ah-que" voilà un succulent "You Are The One” très tendance années 80/90…

A suivre "Love Is Reason"...

Et pour finir sur un sans faute : "Living A Boy's Adventure Tale" :

C'est terminato !

A la revoyure, les P'tits Loups

& les P'tites Loupes !

JD pour LTC LIve.

INFO+ : http://a-ha.com/

Et http://fr.wikipedia.org/wiki/A-ha

LE TRAITEMENT MUZIKAL CONTINUE AVEC DEUX BONUS [+1, juste par gourmandise!) DES "A-HA" BY LTC LIVE...

On continue ce A-HA Tour avec "Touchy" :

"Train Of Thought" (une ZiK pleine de jeunesse et de vitamines) :

Et :

"Dream Myself" :

 

Bonne ZiZiK,

avec JD en  LTC LIve !

LE PROJET POUR METZ DU « MIM SOCIAL-TOUR D’LTC LIVE » POUR LES MUNICIPALES 2014.

© Photo ci-dessus : http://www.pascalcolrat.fr/

POLITIQUE DE LA VILLE :

« TRAVAIL, SOCIAL, SOLIDARITE ! »

I - FINANCES/IMPOTS LOCAUX :

▪Retour à l’équilibre budgétaire, interdiction de financer le Budget de la Commune par l’emprunt bancaire et renégociation/annulation des éventuels emprunts toxiques.

▪Militer pour la réforme des Valeurs Locatives Cadastrales.

▪Baisse des impôts locaux (communaux et intercommunaux) et arrêt des dépenses somptuaires (budget exponentiel des lignes A et B du Mettis ; création de la ligne Mettis nord-sud ; nouveau Palais des Congrès à 70 millions d'euros, etc.) ; afin de stopper le surendettement des jeunes et futures générations, et donner de l'oxygène aux entreprises et contribuables.

▪Multiplier les mesures incitant les PME-PMI, les EURL, les Entreprises Individuelles, etc. à développer leur activité commerciale, à relancer l’économie locale et à préserver/créer des emplois (aides fiscales, création d’un service pour contacter/accueillir les investisseurs, favoriser l'utilisation de l’épargne localement en concertation avec les banques, etc.).

▪Exonération partielle de la taxe d’habitation pour les retraités nécessiteux (des personnes qui ont déjà contribué à la Solidarité Nationale toute leur vie et qui aident le plus souvent leurs proches, voire des Jeunes de leurs connaissances) ; compensations fiscales par la mise en place d’une politique économique locale viable et par la fixation de la population dans la commune grâce à la création d’un vrai bassin d’emplois.

▪Militer pour l’augmentation de la péréquation et des dotations de l’Etat pour la commune.

II - ECONOMIE/EMPLOI :

▪Favoriser l’avènement d’une économie de marché locale éco-responsable, sociale et solidaire, basée sur des échanges relevant du commerce équitable.

▪Pour sauver l’emploi et éviter les transports de marchandises inutiles et polluants, produire et acheter au maximum localement [étudier la possibilité de mettre en place une nouvelle clause écolo-économique dans les marchés publics afin de favoriser les petits producteurs bios du terroir messin (cantines scolaires, etc.)].

▪Proposer de mettre les chômeurs à disposition des administrations et des entreprises privées pour des travaux d’utilité publique [nettoyage des rues, entretien des espaces verts, nettoyage des tags, protection des écoles, secrétariat, etc.].

 

© Photo ci-dessus : http://www.pascalcolrat.fr/

▪Orienter les demandeurs d'emploi et les étudiants arrivant sur le marché de l’emploi vers les entreprises locales.

▪Le Technopole devient une « Silicon Valley Messine » : Encouragement à la Création d’Entreprises novatrices (publiques et/ou privées), dans tous les domaines : recherche, ingénierie, nanosciences et nanotechnologies, chimie fine, lutte contre la cybercriminalité, etc.

▪Favoriser les investissements de l’Etat et du Secteur Privé, mettre en place à l’échelle locale une politique de type « New Deal » : relancer le bâtiment par de grands travaux [repenser, recréer la cité (transformer le Quartier Outre-Seille en Quartier Latin, entièrement piétonnier et rénové, en véritable trait d’union entre le nouveau Quartier Pompidou, le Quartier Impérial et le Centre Ville historique) ; réaménager les zones de non-droit (Borny, Saint-Eloy, Vallières, etc.) ; améliorer les infrastructures routières (construction d’un périphérique, élargissement des rues du Fort Gambetta et de l’Abattoir, etc.) et ferroviaires (création d’un ring ferroviaire écologique à partir du réseau ferré et de gares existant) ; et mettre en valeur notre patrimoine architectural : désenclavement du Château de Mercy, repenser la scénographie du Musée de la Cour d’Or, rénovation des fortifications de la Seille (près de la Porte des Allemands), etc.].

▪Aménagement du Territoire : militer pour la refonte totale de la RGPP (Révision Générale des Politiques Publiques).

▪Reconstruction du « Centre Ville Historique » en favorisant l’installation de commerces de proximité en continu « à la parisienne », etc.

▪Pouvoir d’achat des plus démunis : encouragement à la création d’une coopérative associative d’achats groupés (nourriture, vêtement, chaussures, meubles, fournitures scolaires, lunettes, prothèses, loisirs, etc.)

▪Militer pour la création de la Compensation Sociale d’Aide au Retour à l’Emploi (CSARE). Actuellement, certains Citoyens ne pouvant pas économiquement se permettre de perdre leurs allocations chômages en retrouvant un travail moins bien payé (que leurs diverses allocations cumulées) sont obligés de rester sans activité professionnelle pour survivre. Il faut donc prendre en charge la perte de revenus correspondant pour permettre leur retour rapide sur le Marché de l'Emploi, et réaliser des économies.

▪Encouragement à la création de SCOP (Société Coopérative Ouvrière de Production), grâce aux aides de l'Etat et aux fonds propres des salariés intéressés par le rachat d’une entreprise en faillite.

▪Campagne d’accueil des entreprises étrangères, selon le principe « donnant/donnant » actuellement défendu par de nombreux pays africains (avec réinjection intégrale des profits dans l’économie locale) ; interdiction de donner des subventions en contrepartie, avantages fiscaux proposés.

▪Lutte contre la délocalisation des entreprises françaises et étrangères installées sur la commune (sous peine de remboursement des éventuelles subventions versées par les ex-municipalités et des aides fiscales reçues).

▪Création d’une entreprise de pisciculture et création d’un pôle de transformation (nettoyage et valorisation du Canal de Jouy).

III – LOGEMENT/FAMILLE/SOCIAL :

▪Construction et/ou rénovation (économie d’énergie et ravalement de façade) de 60.000 logements HLM et/ou privés (appartements et maisons individuelles, casernes désaffectées) sur six ans.

▪Recensement au nom du Droit Au Logement des milliers de logements inoccupés relevant du 1% patronal et du parc immobilier privé et public.

▪Aide au développement de l'Habitat Partagé (http://www.habitatgroupe.org/ ; http://www.colibris-lemouvement.org/agir/guide-tnt/comment-monter-un-habitat-groupe ; et http://consocollaborative.com/1297-colocation-co-housing-habitat-partage.html).

▪Décisions des Commissions d'Attribution de Logements sociaux (CAL), propre à chaque organisme d’HLM, rendues publiques.

▪Militer pour : la fixation et le contrôle du prix des loyers (actuellement, en moyenne, près d’un tiers d’un salaire mensuel) des logements privés et publics, afin de permettre au plus grand nombre de se loger ; la non-augmentation des loyers à la relocation ; le maintien de la défiscalisation des travaux pour les propriétaires et les locataires ; et la prise en compte des revenus en cours pour l’attribution des allocations logement et non pas ceux de l’année N-1.

 

© Photo ci-dessus : http://www.pascalcolrat.fr/

▪Pour les gens nécessiteux ou en phase de précarisation (surendettement, faillite personnelle, perte d’emploi, divorce, etc.) : prise en charge totale des loyers impayés (dans le Privé et le Public) par la généralisation du LOCAPASS (caution, garant, assurance dégâts, etc.).

▪Lancement d’une mesure sociale de substitution pour les fonctionnaires qui ne peuvent pas bénéficier du LOCAPASS.

▪ Pour les personnes ayant des difficultés financières pour payer leurs loyers (faillite civile et personnelle, surendettement, chômage, etc.), logées dans une HLM publique ou privée, et n’ayant pas souscrit un LOCAPASS, mise en place d’échéanciers sans frais et humains ; et dans le cas d’une situation relevant de l’urgence sociale, adoption par le conseil d’administration des HLM concernés d’un moratoire sur leurs loyers impayés (avec maintien de leurs aides au logement), et arrêt des poursuites en justice (afin d’économiser les frais de procédure qui souvent sont plus onéreux que les sommes réclamées : honoraires d’avocats et d’huissiers, frais administratifs, etc.).

▪ Réservation des HLM en priorité aux personnes ayant de petits revenus (familles nombreuses, parents isolés, personnes seules, divorcés, retraités, chômeurs, étudiants, etc.).

▪ Mise en conformité de tous les bâtiments d’habitation privés et publics pour permettre l’accès des personnes à mobilité réduite (cf. Loi sur l’Accessibilité de 2015).

▪Modernisation des maisons de retraite.

▪Création d’un service d’aide au déménagement réservé aux personnes dans le besoin (prise en charge financière, prêt d’un véhicule et mise à disposition de personnels).

▪Contre le gaspillage alimentaire (cf. la récente journée nationale contre le gaspillage alimentaire : 17 millions de tonnes de déchets alimentaires mis à la poubelle chaque année en France) organisation de la collecte des dons en nature pour redistribution ; collaboration entre les services de la mairie et la Banque Alimentaire.

▪Protection et développement des zones réservées aux Jardins Familiaux.

▪Aide au développement des AMAP (Association pour le Maintien de l'Agriculture Paysanne, un réseau « BIO et Solidaire » : http://www.reseau-amap.org/).

▪Vu le vieillissement de la population messine, maintien de l’emploi et des prestations de services (à domicile ou non) de l’AMAPA, de l'Hôtel de Gournay, etc.

▪Amélioration de l’accompagnement des SDFs aux fins de permettre leur réinsertion sociale rapide [travail, logement, aide alimentaire et psychologique, interdiction des regroupements au centre ville (avec des chiens en divagation) et de la mendicité ; lutte contre les addictions (interdiction de la prise d’alcool et de drogue en public) et l’assistanat, renforcement des subventions aux associations caritatives, etc.].

▪Création d’un foyer d’accueil jour/nuit dédié aux Femmes SDFs : Elles sont beaucoup moins nombreuses que les hommes dans la rue et galèrent pour se loger (particulièrement en période d’hiver). Elles ont aussi des droits. Il est intolérable de les voir dormir dehors (avec les risques que cela comprend : viol, violences physiques et morales, racket, etc.) ou de dépendre d’un homme juste pour se loger. Elles ne peuvent pas intégrer les foyers réservés aux hommes pour des raisons évidentes. Les services sociaux n’ont pas les moyens matériels et financiers de leur payer en permanence des nuitées d’hôtel. L’hébergement leur est refusé quand elles n’adhèrent pas aux conditions trop impersonnelles et rigides imposées par l’Administration (mainmise sur leurs faibles revenus, etc.). Une simple caserne désaffectée, remise aux normes, avec des chambres individuelles, une cuisine et un réfectoire collectif avec TV, suffirait pour accueillir ces femmes.

© Photo ci-dessus : http://www.pascalcolrat.fr/

▪Création d’un service social pour les Isolés des fêtes de fin d’année [vieillards, veufs/veuves, hospitalisés, malades à domicile, parents isolés sans leur(s) enfant(s), célibataires, solitaires, orphelins, SDFs, etc.] et pour prévenir le suicide : mise en relation dans le cadre privé, accueil dans des structures sociales de la ville avec animations (réveillons et repas de midi de Noël et du jour de l’An), visite/accompagnement des personnes à mobilité réduite, etc.

▪Militer pour la reconnaissance du statut d’homme ou de femme au foyer pour ceux ou celles qui souhaitent participer activement à l’éducation de leur(s) enfant(s), et création d’un salaire parental mensuel de 1.200€ nets.

▪ Mise en place d’une politique nataliste (prime à l’enfant).

 

IV – ENVIRONNEMENT/DEPLACEMENT :

▪Renforcement de la lutte contre les pollutions : création d’une police de l’environnement.

▪Faciliter l’accès aux énergies propres : solaire, éolien, mouvement perpétuel, réinstallation de roues et de moulins à eau partout ou cela est possible (La Seille à Magny, La Moselle au Centre Ville, etc.)

▪Protéger la qualité de l’air : dépollution et contrôles renforcés des rejets dans l’air ; lutte contre l’effet de serre : subventions et aides fiscales pour les particuliers et les entreprises pour la mise aux normes de tous les bâtiments (isolation thermique) et des usines (cheminées) ; et développement de l’Eco-Habitation (économie d’énergie, utilisation de matériaux écologiques, etc.).

▪Protéger la qualité de l’eau, des sols et des sous-sols : dépollution et protection de la nappe phréatique et de tous les cours d’eau messins (sur le modèle de la Tamise en Angleterre, repopulation en poisson, et travail collectif en amont et en aval avec les autres communes concernées) ; interdiction de l’utilisation des engrais non naturels en agriculture et chez les particuliers ; dépollution des décharges (schout de Magny) et des sites pollués industriels (France Transfo/Rue Clothilde Aubertin ; ancienne usine d’incinération-parking TCRM/Avenue de Blida, etc.). Traitement des eaux résiduaires urbaines : permettre le traitement des nitrates et phosphates, de tous les types de virus ou bactéries, et de tous les perturbateurs endocriniens. Surveillance renforcée des réseaux d’eau potable (goût et odeur, protection contre le terrorisme (attaque bactériologique) des ressources, des réservoirs et des réseaux de distribution) ; nettoyage, préservation et amélioration du patrimoine naturel communal (arbres, parcs et jardins, faune, etc.) ; interdire les dépôts sauvages des déchets.

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▪Gestion des déchets : Transformation de la Régie Haganis en Pôle Déchets-Assainissement-Déchetteries (service interne à Metz-Métropole) et fusion avec le CTC (Centre Technique Communautaire) qui a la compétence « collecte des déchets » ; en concertation avec les entreprises productrices lutte contre le matérialisme excessif, le suremballage, la surproduction et la surconsommation, non respectueux de l’Environnement et des besoins réels des citoyens ; accès gratuit aux Déchetteries pour les professionnelles et les particuliers (ouverture H24 et 7J sur 7 et revalorisation à 100% desdits déchets) ; obligation pour les habitations privés et publics, et les entreprises, d’avoir en partie privative des locaux (adaptés, discrets, hygiéniques, inodores et vidés régulièrement) pour le stockage des nouveaux conteneurs poubelles (en amont de la collecte par les Services Publics), et ce, en remplacement des aménagements de rue inadaptés en cours d’installation partout sur l’Agglomération messine (trop visibles, pertes de places de stationnement et nuisances) ; militer pour l’interdiction de faire payer au poids les poubelles des Administrés.

▪Lutte contre la pollution auditive : grande campagne afin d’interdire le bruit excessif des véhicules (scooters, motos, etc.), des chaînes hi-fi (en voiture ou à domicile), des tondeuses, etc. par l’insonorisation des véhicules, la sensibilisation des personnes au respect des Autres, l’isolation phonique correcte des véhicules et des appartements, le respect des heures de tonte, etc. ; création dans chaque quartier, de Défouloirs Publics, ouverts H24 et 7J/7 (centres pour faire du bruit, insonorisés, permettant à chacun d’exprimer sa créativité musicale, son envie d’écouter de la musique fort sans embêter ses voisins, de gueuler un bon coup, etc.).

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▪Lutte contre la pollution visuelle : retrait de tous les panneaux publicitaires qui défigurent un peu partout la ville (Loi Sapin) ; régulation de l’installation anarchique des zones commerciales qui défigure le pourtour de la ville ; création d’un Code de Déontologie Pour l’Expression Raisonnée du TAG et de Zones d'Expression Artistique Concertées (ZEAC) pour que puissent s'exprimer seulement les artistes du tag qui font de belles réalisations respectueuses des territoires où elles s'affichent (centre commerciaux, quartiers choisis en concertation avec les populations, etc.). Mettre fin aux tags sauvages de manière très ferme : création du délit de pollution visuelle, condamnation au nettoyage des tags (travaux d’intérêt collectif), interdiction de la vente des bombes de peinture aux non-professionnels du bâtiment et aux non-artistes. Les tags donne une très mauvaise image de la commune. A l’époque de Jean-Marie Rausch, le nettoyage des murs des victimes était gratuit, contre un dépôt de plainte obligatoire.

▪Grande Campagne d’Hygiène Publique intitulée « Lieux de Vie Propres » (trottoirs, rues, transports collectifs, etc.) : Lutte contre la dissémination volontaire de crachats, de chewing-gums, de mégots, de papiers divers, etc. un peu partout dans la ville (arrêts de bus, devant les écoles, etc.) ; dans tous les moyens de transports, respect des biens collectifs par l’interdiction de mettre les pieds sur les sièges, de taguer, cutteriser ou d’abîmer le matériel public, etc. ; information/prévention faites auprès des propriétaires de chiens afin d’éviter les déjections animales dans les rues et auprès des personnes confondant le Domaine Public avec leurs toilettes et/ou leur poubelle.

▪Grande Campagne d’Hygiène contre les différents nuisibles urbains : les cafards, les chenilles urticantes, les rats, etc. et notamment contre les pigeons/les tourterelles à cause des problèmes d’hygiène associés à leurs déjections (grippe aviaire H1N1, ornithose-psittacose, et possible transmission du SRAS aux humains en cas de contacts étroits, prolongés et répétés avec des secrétions respiratoires ou des déjections d’oiseaux infectés, dans des espaces confinés), aux importants dégâts matériels provoqués par leur nidification (monuments et immeubles détériorés par l’acidité des déjections, l’accumulation de plumes, etc.) et au bruit occasionné par la présence de ces volatiles (roucoulements sourds et intempestifs, le matin de bonne heure) ; réaffirmation de l’interdiction de les nourrir dans le Règlement Municipal (cf. Règlement Sanitaire Départemental en vigueur, Arrêté 2004-DDASS-796 en date du 14 octobre 2004, modifiant l'arrêté du 12 juin 1980 portant Règlement Sanitaire Départemental). Des solutions existent en l’absence de prédateur : lâcher de rapaces afin d'éliminer ces d'intrus, stérilisation par la nourriture (cela réduit rapidement les populations en question), utilisation d’ultrasons pour les effrayer (méthode utilisée avec succès apparemment Avenue Foch), etc.

▪Faciliter l’accès à l’écomobilité : Amélioration de l'offre et de la qualité des transports collectifs, avec cinq objectifs principaux : respect des horaires, sécurité, propreté, fonctionnalité et confort sans luxe inutile ; gratuité des transports en commun pour les chômeurs et les étudiants ; amélioration de l’accès des poussettes dans les bus et autorisation d’accès dans le Mettis ; développement du service public de location à très bas prix de véhicules (voitures, vélos, camionnettes, etc.) pour les citoyens les moins riches qui ont besoin d’un moyen de transport pour aller travailler, et quand leur lieu de travail n’est pas desservi par les transports collectifs locaux ; réalisation de nouvelles pistes cyclables ; généralisation de la pratique du covoiturage ; augmentation significative du nombre de places de stationnements à petits prix pour les véhicules (abonnements sur des places réservées) ; accueil privilégié de la Voiture Electrique (non polluante) et mise en place du réseau de bornes électriques nécessaire au rechargement des batteries.

V – PATRIMOINE/LOISIRS/TOURISME/CULTURE/SPORT :

▪Permettre à tous les Citoyens, et notamment la Jeunesse, de s’occuper sainement dans la vie privée, comme dans la vie scolaire à petit prix ou gratuitement en fonction des activités (et grâce aux financements croisés), par la mise en place d’une politique sociale, sportive et culturelle vivante : ouverture de tous les musées, les sites sportifs, touristiques et culturels [créer un parc d’attraction à thème (un Puy du Fou « Made in Lorraine » près de la FIM) et à recréer le zoo du Saulcy], 7 jours sur 7, non-stop de 08h00 à 20h00 (nocturne le vendredi, le samedi et le dimanche), ; ouverture des salles de spectacles (concerts modernes et classiques), de l’Opéra-Théâtre, etc. 7 jours sur 7, non-stop de 18h00 à 24h00 (en semaine) et non-stop de 14h00 à 24h00 le week-end ; ouverture des cinémas non-stop de 13h00 à 24h00 (et plus) la semaine, et de 10h00 à 24h00 (et plus) le week-end. Maintient de toutes ces activités pendant toute la durée des vacances scolaires.

▪Maintien d’un chœur et d’un ballet dédiés spécifiquement à l’Opéra-Théâtre de Metz ; fin de la précarité de l'emploi pour les Intermittents du Spectacle (Opéra-Théâtre de Metz, etc.).

▪Création de Centres Artistiques pour Tous (CAT) gratuits, ouverts du lundi au mardi et du jeudi au vendredi, de 14h00 à 22h00 (et plus), le mercredi, le samedi et le dimanche, de 07h00 à 24h00 (et plus) : musique, danse, peinture, sculpture, cinéma, photographie, théâtre, yoga, etc.

▪Création d’un quartier latin (en zone piétonne) en concertation avec les assoces (Quartier Outre-Seille entièrement rénové et réservé aux arts, artisanat, artistes, restaurants, bars à ambiance, discothèques, bouquinistes, petits théâtres, écoles d’arts de rue, du cirque et d’arts plastiques, etc.) ; mise en valeur de ce quartier historique et avant-gardiste ; et création d’une Ecole du Rire, afin de lutter contre le stress.

▪Création de ZFCI (Zones de Festivités Concertées Intercommunales) dans l’Agglomération messine (ZAC d’Augny, Parc à Seille, Plaine de Montigny-lès-Metz/Magny (près du Lycée Professionnel Régional), Plaine Saint-Symphorien (derrière le stade), ancienne Base Aérienne de Metz, Ile du Saulcy, etc.) réservées aux concerts en plein air et aux bars à ambiance bruyants, afin d’éviter les nuisances sonores de nuit en zone urbaine habitée ; navettes gratuites assurées par les transports en commun et les taxis (afin d’éviter les accidents de la route lors du retour au domicile) et travail de prévention avec les assoces (contre les MST et les addictions).

▪Garder les cinémas Palace et Ariel à leurs emplacements actuels.

▪Relance générale du Tourisme (promotion de Metz en France et à l’étranger ; recensement, réfection et développement du parc hôtelier et de restauration ; ouverture du Centre Pompidou le mardi).

▪Maintenir au départ de la Place d’Armes le Petit Train touristique (qui est historiquement le premier installé dans les lieux) et déplacer le bus panoramique touristique au départ du Centre Pompidou afin de varier l’offre de service.

▪Création à Metz d’un Centre Régional pour la Préservation de la Culture Traditionnelle Lorraine (danses, chants, coutumes, patois, costumes, traditions, croyances, etc.).

▪Préservation du patrimoine local : réfection de la Basilique Saint-Vincent, des Eglises Sainte-Ségolène (chauffage) et Sainte-Thérèse (étanchéité) ; de l’Opéra-Théâtre de Metz (améliorer l’agencement de la place entre les sièges), etc. ; création d’un lieu de conservation spécifique pour les Archives Municipales (actuellement situées dans les anciens réservoirs d’eau de la ville : importante humidité empêchant la bonne conservation de documents historiques (Traité de Charlemagne), de l’Etat Civil, etc.

▪Arrêter de défigurer la Place d’Armes (quartier historique) avec des banderoles de « Com » de la Mairie (apposées sur la façade de l’Office de Tourisme).

▪Généralisation d’Internet (un des médias préférés des Français) : haut-débit, satellite, 4G, etc.

VI - VIE DES QUARTIERS ET DEMOCRATIE PARTICIPATIVE :

▪Création de Comités Populaires Communaux (CPC) (en remplacement des Comités de Quartiers inefficaces et tentaculaires), en vue de la mise en place d’une Action Citoyenne efficace, écoutée et permettant la constitution de projets visant à améliorer concrètement la Vie de la Cité. Les Elus du Conseil Municipal votent la validation de ses projets. Ces Instances Paritaires comprennent 12 membres (l’élu chargé de la Vie des Quartiers et de la Démocratie Participative préside les CPC, les 11 autres membres sont désignés pour 7 ans : 5 sont tirés au sort dans la Liste Electorale (sans obligation) et les 6 autres proviennent d’actes de Volontariat ; dans le cas d’un nombre trop important de candidats, il est procédé à un tirage au sort). Les CPC travaillent en coordination avec les Services Communaux.

▪Instauration du Référendum de Quartier [avant chaque installation d’activités économiques spécifiques risquant de ne pas respecter la Législation en vigueur sur les nuisances sonores (snacks, bars, discothèques, supérettes, etc.)] ; et du Référendum d’Initiative Populaire pour les choix importants engageant l'avenir de la Commune (installation d’une mosquée, grands travaux, augmentation des impôts locaux, jumelages, etc.).

▪Solidarité des Elus Locaux : vu la grave crise économique et sociale que traverse notre pays, baisse significative des indemnités et avantages des élus locaux (maire et adjoints).

VII - FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE/INTERCOMMUNALITE :

▪Reconstitution (et mise à l’honneur) d’un Service Public Communal à la Française efficace, Solidaire et Egalitaire, et interdiction de mettre en place des Délégations de Service Public (DSP) ; amélioration de l’offre de services aux Administrés : accès en plages horaires élargies (état civil, crèches, écoles, CCAS, etc.), déneigement et nettoyage des rues assurés correctement, lutte contre les tags, etc. ; dématérialisation des documents officiels ; lutte contre la cybercriminalité, sécurisation des bases de données privées et publiques (Archives, Etat Civil, etc.).

▪Préservation des emplois de fonctionnaires ; remplacement de tous les départs à la retraite ; réalisation d’économies sur les actuelles dépenses somptuaires de la Commune (traiteurs, travaux inutiles, hauts salaires, fongibles, communication, etc.) ; lutte contre le harcèlement moral, sexuel et syndical au travail ; redynamisation des personnels communaux par la Remise en Forme Individuelle ou Collective, en instaurant une demi-heure journalière payée de méditation et d’activités sportives douces (Tai-chi, Yoga, etc.), et ce, avant chaque prise de poste, le matin, afin de gagner en efficacité, en créativité, en concentration et en esprit d’équipe ; accès à la Formation facilitée et obligatoire pour tous les travailleurs (développement du Compte Individuel de Formation, etc.) ; accès à la Formation et à l’Emploi facilité pour les travailleurs handicapés (cf. Loi sur l’accessibilité 2015) ; maintien des acquis sociaux des employés de la mairie garanti par la Circulaire du 08.02.2013 sur la Fonction Publique Territoriale ; militer pour l’augmentation annuelle du Traitement des Fonctionnaires et l’intégration de leurs primes dans le brut salarial (comme pour les travailleurs privés de la Fonction Publique), et ce, pour une question d’équité dans le calcul des futures pensions de retraite ; militer pour la fin de l’application du jour de carence dans la Fonction Publique en cas d’arrêt de travail pour maladie ordinaire (sur le modèle du Secteur Privé qui au travers de nombreuses Conventions Collectives en bénéficie déjà) ; départ effectif à la retraite à 50 ans pour les métiers classés insalubres (égoutiers, etc.) dans le Public (et le Privé).

 

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▪Subventionnement des syndicats (sur le principe du financement des partis politiques) dans le respect de leur Indépendance ; respect de l’exercice du droit syndical et instauration d’un Dialogue Social basé sur une négociation permanente (décisions collégiales, réunions mensuelles et sur demande, etc.).

▪Encouragement à la Mobilité des Agents de la Fonction Publique (Fonction Publique d’État, Fonction Publique Hospitalière et Fonction Publique Territoriale) (en concertation avec les Syndicats, avec maintien des acquis sociaux, revalorisation salariale et prime à la mobilité).

▪Militer pour le maintien des forces armées sur le territoire de la commune (important facteur économique permettant la création de nombreux emplois directs et induits).

▪Militer pour la création d’un Haut Conseil des Territoires, une Instance Nationale de Dialogue entre l’Etat et les Collectivités (locales et territoriales) qui détermine les mesures à prendre dans l’Intérêt Général, décide des moyens à y consacrer, et revoit la Distribution des Compétences entre les différentes Collectivités.

▪Militer pour l’élection des Conseillers Territoriaux au Suffrage Universel Direct et à la Proportionnelle Intégrale.

▪Militer pour le transfert de l’Urbanisme au Niveau Intercommunal.

▪Interdiction du cumul de mandat Président d’Exécutif Local et de Député, etc.

 

VIII – JEUNESSE/EDUCATION PARTAGEE :

▪L’Education Partagée a pour vocation - et ce, dans la continuité du rôle primordial des parents, qui ont pour devoir principal de donner une éducation de base, équilibrée, aux enfants - de permettre l’élévation intellectuelle, manuelle et sportive, des Elèves-Citoyens. Elle travaille à l’aboutissement du projet de Renaissance Nationale en donnant les Moyens à tous les Elèves de réussir, et ce, quelque soit leur Origine Sociale et/ou leur Handicap. L’Education Partagée travaille, dans le cadre d’une Grande Consultation locale avec le Pôle Emploi, les Organismes de Formations Professionnelles agréés, les Partenaires Sociaux, les Syndicats Etudiants, etc., à la détermination des Gisements d’Emplois dont la Commune a besoin, à pourvoir de suite et/ou à créer dans le futur.

▪Travailler avec La Région (et l’Etat) qui pilote les Politiques d’Orientation, de Formation et de l’Emploi.

▪La construction de nouvelles crèches, écoles maternelles et primaires se fait conjointement à celle de foyers de personnes âgées (pour rompre les solitudes, rapprocher les générations et favoriser le panachage social).

▪Aménagement des rythmes scolaires : tout en faisant référence aux décisions gouvernementales, tenir compte des rythmes des enfants et des parents (horaires de travail) ; crèches, écoles maternelles et primaires, ouvertes de 07h00 à 20h00 (avant et après les cours) ; et embauche de personnels en conséquence.

▪En cas d’absence d’un maître d’école : mise en place immédiate d’un remplaçant, ou d’un surveillant (étude, création artistique, activités sportives, informatique, etc.).

▪Grande Campagne de remotivation des Elèves par la généralisation du soutien scolaire.

 

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▪L’absentéisme des Elèves est contrôlé, en concertation avec les Parents (grande campagne de responsabilisation).

▪Gratuité Totale des frais de scolarité.

▪Prévoir des classes de 20 élèves maximum.

▪Les cantines scolaires servent des aliments obligatoirement bios à 100%.

▪Construction ou rénovation prioritaire de logements à loyer modéré, sécurisés et meublés, pour les étudiants des collèges, lycées et universités (concerne environ 14.000 jeunes à Metz (objectif : couvrir 100% de la demande).

▪Aides aux Organismes de Formations Professionnelles agréés.

▪Dialogue avec les Syndicats Etudiants.

▪Place importante des Jeunes dans la prochaine Equipe Municipale.

▪Mise en avant de la Jeunesse en lui confiant officiellement de Grandes Causes Humanitaires Locales : réduction des inégalités sociales, promotion de la Paix Sociale, etc.

▪Application de la Doctrine Sociale de Baden Powell et développement des Mouvements qui s'en inspirent : Scouts, Louveteaux, Jeannettes, etc.

▪Travailler avec Pôle Emploi afin de faciliter l’accès des Jeunes à Emploi (apprentissage, étudient-entrepreneur, jobs, etc.).

▪Subventions supplémentaires aux Jeunes afin qu’ils puissent améliorer ou créer des associations d’expression artistique non politisées (peinture, musique, etc.).

 

IX - SANTE/HYGIENE/SECURITE CIVILE :

▪Lutte contre le SIDA, les MST et les addictions (drogue, alcool, tabac, etc.).

▪Salle de shoot contrôlée et sécurisée, et politique de sevrage des personnes dépendantes.

▪Réorganisation prioritaire des Services des Urgences dans les Hôpitaux : amélioration de l’accueil et de la prise en charge, avec augmentation des moyens (santé, sécurité, personnels, matériels, écoute, etc.).

▪Installation d’un service d’urgences de nuit, au centre ville, pour ceux qui n’ont pas de véhicule et pas les moyens de se payer un taxi ou une ambulance de nuit.

▪Moyens renforcés, matériels et financiers, pour la Sécurité Civile et les Pompiers, et professionnalisation.

▪Comblement du retard dans le domaine des soins palliatifs et de l’accompagnement.

▪Pour les personnes âgées, handicapées et hospitalisées à domicile : prise en charge totale de la dépendance, généralisation du maintien à domicile dans de bonnes conditions et création des emplois nécessaires de proximité.

▪Interdiction effective de la Prostitution sur la voie publique (Avenue Foch, etc.).

 

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X – SECURITE/JUSTICE/RELIGION/AMELIORATION DU CLIMAT SOCIAL :

▪La sécurité est une priorité de la Municipalité (lutte contre les dégradations, les cambriolages, les menaces, les agressions, les viols, les rackets, les vols, etc.) ; surveillance particulière du Centre Ville (place de la République, rue Serpenoise et Centre Saint-Jacques), des zones de non-droit (Borny, Saint-Eloy, Vallières, etc.), des transports en commun, des grosses manifestations (Stade Saint-Symphorien en cas de match de football, Foire de Mai, etc.), etc.

▪Application des Lois avec fermeté selon le principe défini dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 dans son Article 4 : "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi."

▪Redéfinition claire de la complémentarité de l’Etat et des Collectivités en matière de Sécurité et de Prévention de la délinquance.

▪Reprise en main immédiate des zones de non-droit de la commune par l’instauration d’un vrai dialogue social (sans assistanat), et par la dissolution radicale et immédiate des bandes. Les banlieues ne doivent plus s’exprimer par la violence et la délinquance.

▪Contrôle des heures de fermeture des débits de boissons et fermeture administrative immédiate en cas de nuisances sonores répétées.

▪Doublement des moyens matériels et des effectifs humains de la Police Municipale et Nationale, afin de permettre la mise en œuvre d’une vraie politique de prévention, de surveillance et d’intervention (au niveau communale et intercommunal) ; mise en place de patrouilles conjointes avec l’Armée (Plan Vigipirate) de jour comme de nuit (avec maintien des équipes de médiateurs). Surveillance physique des sites en collaboration avec des entreprises de sécurité respectant un Code de Déontologie et une Charte Spécifique sur la Sécurité édictée par la Mairie ; renforcement du réseau de caméras de surveillance.

▪Militer pour une lutte renforcée contre les violences faites aux femmes (et aux hommes dans certains cas) par la mise en place d’une grande politique de prévention (mais prise en compte, aussi, des situations particulières où les hommes peuvent être accusés à tort de violence par certaines femmes peu scrupuleuses).

▪Dans chaque mode de transport en commun (bus, train, etc.) : obligation de mettre en place des Cabines de Sécurisation pour les Personnels (chauffeurs, contrôleurs, etc.) et pour les Passagers, afin d'essayer au maximum de les préserver de l’insécurité et/ou du terrorisme, avec mise en place de systèmes de communication sécurisés et d’alarme, et de boîtes noires.

▪Stationnement : arrêt de la répression par les PV des Polices Nationale et Municipale.

▪Suppression des radars en activité à certains feux tricolores (impopulaires).

▪Retour des gardiens d’immeuble (HLM et logements privés groupés) et de parc (parcs fermés de nuit, sauf ceux sous surveillance, etc.)

▪Protection de tous les lieux de culte et de tous les cimetières contre les profanations (gardiennage et vidéosurveillance).

▪Instauration du principe de réciprocité : pour chaque mosquée construite sur le ban communal, exiger la construction d’une église dans une commune équivalente (taille et population) d'un pays musulman.

▪Ouverture sur le ban communal (dans une zone isolée et sécurisée) d’un circuit de vitesse sportive réservé aux fous du volant, afin qu’ils puissent exprimer leur violence routière sans mettre la vie des Autres en danger.

© Photo ci-dessus : http://www.pascalcolrat.fr/

▪Interdiction de circulation des deux roues dans les rues piétonnes et sur les trottoirs, afin de protéger les piétons (danger pour les personnes âgées et/ou handicapées, non respect de la vitesse et des règles élémentaires du Code de la Route et de savoir-vivre, toute-puissance par rapport aux piétons, etc.). Principe : « dans une zone piétonne et sur un trottoir, le piéton est prioritaire ; aussi le cycliste met obligatoirement le pied à terre, et pousse à la main son vélo, le temps de retourner sur le réseau routier adéquate. ».

 

© Jean Dorval, le 1^er novembre 2012, pour LTC LIve.

« LA VIE D’ADèLE (ou de Miss P. ?). »

 

Le 9 octobre dernier est sorti le dernier film d’Abdellatif Kechiche⁽¹⁾ « La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 » (durée : 2h59), avec dans les rôles principaux les talentueuses Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos. Cette romance française, qui vire au drame, est librement inspirée de la BD française, de Julie Maroh, publiée par Glénat, en mars 2010 : « Le Bleu est une couleur chaude. ». Elle a remporté la Palme d'Or au Festival de Cannes 2013 et en France est interdit aux moins de 12 ans avec avertissement. Une interdiction qui aux States touche les spectateurs de 17 ans et moins, même accompagnés. Mais l’application de cette interdiction varie en fonction des Etats. Ainsi, si les salles de l'Idaho, au Nord-Ouest des States, ne diffusent pas « La Vie d'Adèle » (la loi de cet Etat interdisant les films comportant des scènes de sexe explicites), par contre, le cinéma d’art et d’essai IFC Center à New York autorise les adolescents à découvrir ce film ludique.

DEUX FLEURS DU MAL éPANOUIES POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE.

Au tournant des années 2000, Adèle a 15 ans. Cette jeune fille au visage d’Ange, qui me rappelle étrangement une ex-petite amie (d’une vingtaine d’années à l’époque), est perdue et mal dans sa peau, comme beaucoup de Djeuns de sa génération, face aux incertitudes de la Vie. Malgré sa timidité naturelle et son regard fuyant, Adèle, même en retrait, envoûte les gens qui l’entourent. Son look cool, ses cheveux châtains remontés en fouillis organisé (dans lesquels il manque presque une dreadlock rebelle), son goût prononcé notamment pour le reggae, son adhésion à la modernité, son engagement pour une école et une société plus égalitaire, etc. la rende pour beaucoup sympathique, voire attirante. Adèle est fraîche, naïve, sensible, tolérante, d’une gentillesse exemplaire et dotée d’un sex appeal irradiant-hot. Cependant, elle est en quête de l’Amour, et pas n’importe lequel, le vrai ! Et elle débute sa vie sexuelle par une interrogation légitime : une fille ça sort uniquement avec des garçons ? Pas si sûr ! Et soudainement lorsqu’elle croise Emma, une délicieuse Garçonne, plus âgée qu’elle, aux cheveux bleus, tout s’effondre autour d’elle, sa vie bascule totalement et elle découvre le mot « Certitude ». Ses caresses solitaires vont la conduire de fantasmes en fantasmes à la très belle Emma, dont le sourire lui fait perdre tous ses moyens. Cette Ame Sœur va lui faire découvrir et vivre le Désir, la Passion et l’Amour ; trois raisons d’exister souvent réunis véritablement ensemble qu’une seule fois dans la Vie de chaque Etre Humain. Sa libido surdimensionnée, qu’elle n’assouvit pas dans les bras d’un homme, elle l'apaise finalement, comme un trésor, dans ceux d’Emma. Le regard détourné va faire alors place à un regard éclairé, tourné vers l’émerveillement. Cette chevauchée lesbienne à la hussarde va lui permettre de découvrir sa Féminité, de se révéler en tant que Femme-Adulte, tout en conservant une éternelle fragilité et un visage de gamine innocente. Face au regard des autres Adèle grandit alors, se cherche, se perd, se trouve... et se reperd.

UNE CHEVAUCHéE EROTIQUE D’AMAZONES-LOVE.

Cette Toile de Maître est rythmée par une musique mélancolique. On y remarque la présence de la chanson « I Follow Rivers » de Lykke Li. Par contre, on en sait moins sur les musiques instrumentales qui déshabillent certaines scènes du film, notamment celle du premier et mémorable regard échangé entre Adèle "La Muse" et Léa "L'Artiste". L’instrument que l’on entend s’appelle un « hang » ou « hang drum ». Abdellatif Kechiche, lors d’une conférence de presse au New York Film précise : « Un jour par hasard, j’ai rencontré un musicien qui jouait d’un instrument qui avait un son très mélancolique et en le mettant dans la scène, j’ai pensé que ça pourrait créer cette émotion forte pendant la rencontre. Je crois que la musique à ce moment-là participe de l’émotion dans la rencontre. » Loin des clichés convenus, loin d’être un film X, ce long métrage est une œuvre homosentimentale, qui filme une Histoire d’amour sous tous ses aspects et sous tous ses angles. Deux femmes s’aiment et elles le prouvent. Elles sont belles dans leurs transports urbains amoureux et se donnent l’Une et l’Autre, l’Une à l’Autre, l’Une pour l’Autre, à l’envie, avec beaucoup d’Humanité, et sans pudeur, en se transcendant jusqu’à en perdre raison. Leur Union est un rodéo sexuel doublé d’une passion dévorante dans laquelle chacune des protagonistes va se brûler les ailes et se briser le cœur. Au travers de cette étude sur les relations saphiques, le réalisateur nous prouve que « les histoires d’Amour (comme le dit si bien Rita Mitsouko dans sa chanson) finissent mal en général », et ce, qu’elles soient homos ou hétéros. Il nous parle des différentes étapes d'une relation sentimentale tendant vers la routine : la rencontre, la séduction, la passion, l’habitude, la trahison, la souffrance et la séparation. Ce film est un étendard revendicatif arc-en-ciel pour la Diversité Sexuelle et qui murmure aux oreilles des spectateurs « Il ne faut jamais dire : fontaine, je ne boirai pas de ton eau.».

 

© Jean DORVAL, le 29.10.2013, pour LTC Kinéma.

 

Note :

(1)  Abdellatif Kechiche a changé de producteur à chacun de ses films : « La Faute à Voltaire » (2000 - Flach Film), « L'esquive » (2003 - Lola Films & Noé Productions), « La Graine et le mulet » (2007 - Pathé ), « Vénus noire » (2009 - MK2) et « La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 » (2013 - Wild Bunch).

 

LE FILM « LE MAJORDOME » : UNE GRANDIOSE RETROSPECTIVE DE LA LUTTE DES AFRO-AMERICAINS POUR L’EGALITE DES DROITS CIVIQUES AUX ETATS-UNIS D’AMERIQUE.

Dans la même veine que « Lincoln », le film produit et réalisé par Steven Spielberg en 2012 ; « Le Majordome » (titre original : « The Butler »), la toile de maître de Lee Daniels, en VOST (durée : 2h49), sortie nationale le 11 septembre 2013, fait un énorme carton aux Etats-Unis, et est un très beau succès en France où elle a pris la tête du box office avec quelques 307.000 entrées. Dans les rôles principaux de ce drame historique, inspiré de la vie d'Eugene Allen (1919-2010) (Cecil Gaines dans le film), on trouve de très grands Acteurs : Forest Whitaker (Cecil Gaines), Oprah Winfrey (Gloria Gaines, sa femme), John Cusack (Richard Nixon), Jane Fonda (Nancy Reagan), Cuba Gooding Jr. (Carter Wilson), et Terrence Howard (Howard) ; mais aussi, les stars de la chanson Mariah Carey (Hattie Pearl, la mère de Cecil Gaines) et Lenny Kravitz (James Holloway). Une Mariah Carey méconnaissable dans ce rôle, qui réussit parfaitement à faire oublier son image de Diva et qui évolue pour la deuxième fois à l’écran après avoir déjà tourné avec Lee Daniels dans « Precious ». Lenny Kravitz, quant à lui, incarne un collègue de Cecil à la Maison-Blanche.

LE PARCOURS D’UN MILITANT DU BONHEUR.

En 1926, le jeune Cecil Gaines grandit dans le Sud ségrégationniste des Etats-Unis, où son père est assassiné et sa mère violée par leur employeur. La mère de son patron le fait sortir alors des champs de coton et lui apprend à devenir un « bon nègre de maison ». A 20 ans, fuyant cette tyrannie et en quête d'un avenir meilleur, Cecil quitte la ferme et part vers le Nord ; croyant à tort que la ségrégation, la violence et la haine y sont moins fortes. Il est alors engagé dans un restaurant comme homme à tout faire. Fidèle et toujours sérieux, travailleur, Cecil gravit tous les échelons, et tout en devenant un homme, il acquiert les compétences qui lui permettent d’exercer une fonction très convoitée aux Etats-Unis d’Amérique : Majordome à la Maison-Blanche. Il y sert sept Présidents des Etats-Unis d’Amérique (dans la réalité Eugène Allen a travaillé pour huit Chefs d’Etat Américains), d'Eisenhower à Reagan, et devient le témoin privilégié de son temps et des tractations secrètes qui se déroulent au cœur du fameux Bureau Ovale. Sa femme, Gloria, quant à elle, Femme au Foyer, élève leurs deux fils. Leur famille vit confortablement grâce à l’emploi de Cecil, à une époque où la discrimination prédomine. Tout pourrait aller pour le mieux, pourtant le dévouement de Cecil à son employeur - un véritable sacerdoce - provoque des tensions au sein du couple, au point que Gloria finit par s'éloigner de son époux, sombre dans l’alcool et le trompe avec un ami de la Famille. De même, Cecil se dispute régulièrement avec son fils aîné, devenu un anticonformiste, engagé dans la lutte pour les Droits Civiques des Afro-Américains. Le conflit entre le père et le fils se creuse au fil des ans. Quand le père travaille pour « l’homme blanc », le fils, lui, participe à des manifestations pour l’égalité. L’opposition de ces deux générations est un élément moteur de ce long-métrage. Au travers du parcours de Cecil Gaines, ce film fait découvrir au public l'évolution trop lente de la vie politique américaine et le degré incroyable de violence qui sévit entre les Communautés. De l'assassinat du Président Kennedy à celui de Martin Luther King, de la Guerre du Vietnam aux « Bus de la Liberté », du scandale du Watergate au premier étudiant noir intégrant l’Université du Mississipi, des violences du Ku Klux Klan à celles des Black Panthers, etc. autant de thèmes abordés… jusqu’à l’élection de Barack Obama ! En trente ans de carrière rien n’échappe au témoignage vivant de Cecil qui vit ces événements de l'intérieur et en tant que père de famille.

UNE HISTOIRE SIMPLE ADAPTÉE A L’HISTOIRE.

En partant de la vie simple d'Eugene Allen, Lee Daniels tourne la vie de Cecil Gaines, à la manière de « Forrest Gump » de Robert Zemeckis, afin d’en renforcer le message politique. Pour ce faire, il focalise sur les nombreuses pages sombres de l’Histoire des Etats-Unis d’Amérique, en l’occurrence celles relatives au martyr des Afro-Américains (n’oublions pas au passage les Amérindiens) déportés par millions, industriellement, à l’échelle mondiale. Il dénonce ainsi plus de trois siècles d’esclavage⁽¹⁾ subis par les Afro-Américains et un siècle et demi de lutte pour qu’ils obtiennent des Droits Civiques⁽²⁾. Une traite négrière - crime contre l’Humanité commis sous couvert d’Etats complices, qui à l’époque se sont enrichis sur la souffrance humaine ; génocide, honteusement passé sous silence, véritable insulte au Devoir de Mémoire - et qui plusieurs siècles après n’est toujours pas jugée par un Nuremberg de l’esclavagisme, du racisme et du ségrégationnisme. Aussi pour dénoncer cette négation injuste de l’Histoire, ce long métrage, afin de remettre les pendules à l'heure, insère dans la Vie d'Eugene Allen les importants événements qui ont touchés les Afro-Américains tout au long de son existence.

D’une part, c’est principalement en se référant à l’article publié dans le Washington Post, le 07 Novembre 2008⁽³⁾, par le journaliste Will Haygood - le premier à avoir raconté l'histoire d'Eugène Allen – que l’on peut constater certaines différences entre la biographie du « Majordome » et le scénario du film. Ainsi, si la vie d’Allen démarre bien dans une plantation où ses parents travaillent comme des esclaves, par contre l’action du film se passe en Géorgie⁽⁴⁾ (un Etat totalement confédéré) et non comme dans la réalité en Virginie⁽⁵⁾ (un Etat à moitié Confédéré). De plus, le père de Cecil n’a jamais été assassiné sous ses yeux, sa mère n’a pas été violée et a encore moins sombrée dans la catatonie. Le réalisateur modifie la réalité pour la bonne cause, rajoute des exactions et des situations désespérées afin de mieux illustrer la douleur séculaire (et bien réelle) de millions de Victimes Afro-Américaines. Il met de cette manière en lumière le parcours difficile du Héros depuis son enfance. Une situation extrême qui va effectivement pousser Allen à vouloir s’extraire de l’esclavagisme de la plantation où il a grandi. Par contre, sa femme n’a jamais été alcoolique et ne l’a pas trompé ; mais elle est bien décédée en novembre 2008, après 65 ans d'union, et n'a pas donc pas eu la chance d'assister à l'élection de Barack Obama.

D’autre part, dans « Le Majordome », Eugene Allen a deux enfants aux destins et aux caractères diamétralement opposés. Le plus jeune d’entre eux participe à la Guerre du Vietnam où il est tué, tandis que l’aîné devient militant des Droits Civiques et finit membre des Black Panthers. En fait, dans la réalité Allen n'a qu'un enfant, Charles. Il a bien servi comme militaire lors de la Guerre du Vietnam, mais il en est revenu vivant. Ce deuxième fils fictif, revendicatif à souhait, reprochant à son père sa trop grande servilité envers les Blancs, est une allégorie vivante permettant à Lee Daniels de raconter de l'intérieur la lutte historique des Afro-Américains pour les Droits Civiques, et l'opposition permanente d'alors entre partisans de la méthode douce et de la méthode dure. Grâce à ce personnage inventé, le film se bonifie d’un intérêt historique collectif supplémentaire et ne se limite plus au destin ordinaire d'un seul homme. Allen devient alors l’Icône de la Communauté Afro-Américaine, une importante Minorité du Peuple Américain, exclue depuis trop longtemps de la Société Américaine, voulant que sa souffrance soit enfin reconnue, et que sa part de Rêve Américain, sa part d’« American way of life » lui soit accordée.

 

Enfin, si l’on sait que Barack Obama a pleuré en voyant ce film, sa rencontre en tête-à-tête avec Allen est plus qu’improbable, et ce, même si ce dernier a bien été invité en VIP en 2008, lors de la première soirée organisée à la Maison-Blanche par le nouveau Président des Etats-Unis d’Amérique. D’ailleurs Will Haygood dans son article n’a jamais fait état d’un tel entretien, et raconte juste qu'Allen a été bouleversé en voyant le premier Président Afro-Américain occuper le fameux Bureau Ovale. De toutes les manières, cette rencontre, qu’elle est existée ou non, constitue, elle aussi, un liant historique permettant au réalisateur de conclure son film sur une apothéose. Le premier Président Afro-Américain reçoit le Héros du film, un simple Majordome Afro-Américain, lui aussi, et qui a servi que des Présidents Blancs… Tout un symbole ! La boucle est bouclée ! Ce film en dépassant ses propres limites passe du simple documentaire historique en surimpression (pour la bonne cause) au stade de Légende.

UN PARCOURS DU COMBATTANT DANS LA BOUE DE L’HISTOIRE AMÉRICAINE.

Ce Biopic est donc un parcours du combattant dans la boue de l’Histoire Américaine afin d’obtenir l’égalité des Droits Civiques entre tous les Membres d’un seul et même Peuple, celui des Etats-Unis d’Amérique, quelque soit la couleur de leur peau. Il ne laisse aucun sujet brûlant de l’actualité de l’époque sans réponse. Au travers de l’ascension professionnelle de Cecil Gaines on découvre, avec ses hauts et ses bas, l’Amérique des Exclus et des Sans-Voix, celle des Anonymes devenus Grands et Beaux. Les moments clés de l’Histoire Américaine du XXe Siècle sont ici révélés sous un angle nouveau avec une envie prononcée de dénoncer le passé ségrégationniste et les violences entre les Communautés, tout en étant déjà en train de construire l’Avenir en commun pour tout le monde. Un film historique avant tout, qui ne se veut pas moralisateur, mais qui s’inscrit plutôt dans la lignée des films hommages voulant redonner un sens à cette Amérique que ses Fondateurs voulaient ouverte à Tous et Démocratique. Un très beau film qui met sous le feu des projecteurs un personnage de l’ombre (Cecil Gaines) qui flotte désormais pour l’éternité dans nos mémoires et au firmament de l’Histoire. Et le Pasteur Martin Luther King de conclure mon propos : « J'ai le rêve qu'un jour mes quatre enfants vivront dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour leur caractère. »⁽⁶⁾ et « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots.  »⁽⁷⁾ Mon très cher Martin, du haut du Ciel, vous pouvez constater que les choses évoluent favorablement dans votre Pays et ce film en est la preuve irréfutable !

© Jean DORVAL, le 17.10.2013, pour LTC Kinéma.

 

Sources documentaires :

lexpress.fr/le-majordome-une-histoire-presque-vraie

Notes :

(1)  L'historien  Olivier Pétré-Grenouilleau qui met le plus l'accent sur la traite orientale, a estimé, en 2004, à 42 millions le total des victimes pour trois traites négrières (la traite orientale, à destination du monde arabo-musulman : 17 millions de personnes, entre les VIII et XIXème Siècles ; la traite intra-africaine : 14 millions de personnes, dont une partie revendue à des Européens ou des Arabes (entre le VI et le XIXe Siècles) ; et la traite atlantique, par les Européens : 11 à 13 millions de personnes, dont l'essentiel à partir de la fin du XVIIe siècle.

(2)    18 décembre 1865 : Abolition de l'Esclavage aux États-Unis, le Congrès vote un 13e Amendement à la Constitution Américaine.

(3)   articles.washingtonpost.com

(4)    Un Etat totalement confédéré.

(5)    Un Etat Américain plus au Nord et qui fait sécession en 1861, ce qui provoque en 1862 une scission des comtés du nord-ouest qui deviennent la Virginie-Occidentale.

(6)    Extrait du discours « J'ai fait un rêve ».

(7)    Extrait de Discours du 31 Mars 1968.

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